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Que vaut le PEA ?

Les personnes ayant une petite épargne et à la recherche d’un rendement plus attractif que Livret A ou la caisse d’assurance vie en euros recherchent le marché boursier. Puis vient le dilemme : Devrions-nous ouvrir un PEA (plan d’épargne boursière) ou un compte de titres ? Les deux investissements offrent un accès aux marchés boursiers, mais ils sont très différents les uns des autres. Ces concepts sont souvent mal maîtrisés par les assureurs ou les professionnels qui vendent le produit. L’impact à la fin peut être très pénalisant pour l’épargnant s’il fait le mauvais choix au début.

Compte PEA ou Titres : accès aux actions, obligations et OPCVM

Avant d’étudier les deux produits en détail, nous retournons rapidement et simplifiés aux médias disponibles que nous trouverons dans les deux investissements :

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— Part : Posséder une part du capital d’une société. Nous espérons recevoir un revenu annuel appelédividende que la société décide de payer ou non chaque année aux actionnaires. Donc, ce n’est pas certain. Vous pouvez également recevoir une plus-value. Les stocks sont en hausse ou en baisse. Si j’achète une action de 5€, elle peut évoluer vers le augmenter et diminuer en fonction des marchés financiers. Si je vends ma part 1 mois plus tard et que cela coûte 8€, alors j’ai fait un excédent de 3€. Au contraire, si l’action tombe à 1€, j’ai perdu 4€ si je le vends. Il existe des actions cotées sur le marché français (CAC 40 avec actions de grandes entreprises françaises) mais aussi sur les marchés étrangers et actions non cotées. L’action est donc un support risqué (vous pouvez tout perdre) mais avec un gain potentiel élevé. Les hommes sont à la recherche d’une valeur ajoutée significative à la revente et nous avons le chance de percevoir un revenu appelé dividende.

— Obligation : Prêt à un État ou à une société. L’exemple simplifié d’obligation à taux fixe est le plus révélateur. Bientôt100€ à une usine pendant Cinq ans. En retour, il me paie 3% par an. Donc, je recevrai 3€ la première année, 3€ la deuxième ect… et je recevrai mes 100€ après 5 ans. Le revenu (le 3€) est appelé ici le coupons. L’investissement est beaucoup plus sûr qu’auparavant (à moins que l’État ne fasse faillite, il me remboursera) avec un rendement connu mais un gain faible et défini à l’avance.

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— OPCVM : Il s’agit d’un panier où se trouvent des actions ou des obligations. Ici, un professionnel (le gestionnaire) utilisera notre argent pour investir dans actions ou obligations. Chaque OPCVM a une stratégie différente. Par exemple, je veux acheter des actions de CAC 40, mais je ne sais rien à leur sujet. Je passe ensuite par un OPCVM spécialisé dans le CCA 40 qu’ils essaieront de faire mieux que le CAC 40 en achetant et en vendant les actions de ce marché au bon moment. Utilisera mon argent pour se conformer à cette stratégie ; mettre 100€ en l’OPCVM, c’est comme si vous possédez un peu de chaquestock acheté par le gestionnaire. La valeur de l’OPCVM et donc de mon investissement peut changer à la hausse si le gestionnaire fait les bons choix et vers le bas si elle vend et achète au mauvais moment. Il existe des milliers d’OPCVM différents, tous avec une stratégie différente : achat d’actions uniquement sur le marché américain, achat d’actions d’obligations à 3 ans, mélange entre 80% des obligations et 20% des actions françaises… Il va sans dire que l’investissement dans un OPCVM qui détient des actions dans le portefeuille est risqué, mais permet un gain potentiel élevé. En revanche, un gestionnaire qui ne travaille qu’avec des obligations permet un rendement modéré et connu mais sans risque. Donc ici, je n’ai plus de quota ou d’obligation dans , je possède une partie de l’OPCVM qui évoluera vers le haut ou vers le bas en fonction de la direction du professionnel.

Titres et compte PEA : mode de fonctionnement similaire .

L’idée des deux investissements est la même. Nous ouvrons lecontrat que nous nourrissons avec de l’argent. Une fois que l’argent est investi dans le compte de titres, vous serez acquérir des actions, des obligations ou des OPCVM afin de générer des revenus (dividendes, coupons) et des plus-values destinées à la vente. Les frais de garde d’enfants sont habituellement engagés chaque année et un une commission est maintenue pour chaque transaction d’achat ou de vente. Le client accepte ici le risque lié aux deux produits : le capital peut être perdu mais en retour un rendement significatif devient possible. Il va sans dire que les économies de précaution et les fonds qui pourraient être nécessaires demain ne doivent pas être affectés à ces investissements.

Pourquoi ouvrir un compte de titres ?

Le compte des titres est l’investissement open source par excellence. Vous pouvez en ouvrir plusieurs, seul, par paires, comme quota pour un enfant mineur… Il n’y a pas de plafonds de paiement, vous pouvez mettre 300 milliards sur elle si vous voulez. Sa force réside avant toutdans le nombre incroyable de médias disponibles. Toutes les actions sont vous , qui sont répertoriés en France ou dans d’autres pays. Il en va de même pour les obligations ou les OPCVM. Vous trouverez tous les managers possibles et inimaginables. Autres produits complexes non discutés ici (traqueurs, mandats) sont également admissibles. Le produit vous permet d’acquérir n’importe quelle valeur marchande de votre portefeuille. La liberté s’applique également à la sortie. Chaque dividende ou coupon collecté est immédiatement disponible et en espèces. De même, dès que votre média est vendu sur le marché boursier, vous récuperez le montant qui peut être réutilisé sur votre compte de sécurité ou utilisé sur votre compte courant. Enfin, l’aspect héréditaire est intéressant car à la mort, ce contrat est l’un des seuls produits qui peuvent durer pour vos héritiers. La clôture n’est pas et vos héritiers récupèrent des comptes de titres avec des médias investis qu’ils courent en indivis oudémembrement.

Pourquoi ouvrir un PEA  ? Comment ça marche ?

Tous les avantages précédemment vus disparaissent avec le PEA. Un seul contrat autorisé par personne, une limite de paiement maximale de 150 000 euros, ne peut pas ouvrir un contrat commun. Les médias disponibles dans le PEA sont également très limités : il n’y a que des actions et des OPCVM, tous français ou de la zone européenne. Vous ne pouvez pas acheter des actions Mac Donald cotées sur le marché américain ici ! Les montants d’un AEP (à la suite d’un dividende reçu ou de la vente d’une action ou d’un OPCVM) ne sont pas disponibles. Bien que les lacunes du PEA soient nombreuses en ce qui concerne le compte des titres, il se redresse très largement à un seul niveau : la fiscalité ! Les deux placements feront l’objet de déductions sociales de 17,2 % sur l’ensemble de la plus-value et du revenu. Il reste l’impôt sur le revenu payable avec LE grand avantage de la PEA : exonération de l’impôt sur le revenu dedividendes et gains en capital si le contrat est maintenu pendant au moins 5 ans !

Exemple : j’ai investi 5 000€ et grâce au bon choix de support, le contrat a augmenté en cinq ans et est passé à 8 000€. De toute façon, je paierai les déductions sociales de 3000* 17,2% = 516€. — Si j’ai un compte de titres, je paierai également de l’impôt sur le revenu. 3000€ sont ajoutés à ma déclaration d’impôt et je facture l’impôt sur tranche (minimum 14% si vous payez de l’impôt, maximum 45%) : 3000* 14% = 420€. — Si j’ai un PEA, je ne paie pas d’impôt sur le revenu !

En réalité, les gains en capital du compte de titres bénéficient d’une déduction en fonction de la durée de la détention, de dividendes d’une déduction avant impôt de 40 % et de coupons sans escompte (ou impôt sur l’UFP). Le reste sera consacré à l’impôt sur le revenu de toute façon, et cela représentera un fardeau très lourd pour les gains. Le prélèvement forfaitaire unique est ajouté à la liste des choiximpôt, mais l’impôt sur le revenu via le PEA restera toujours mieux que le reste.

Le PEA est assujetti à un régime fiscal totalement distinct. C’est la date de sortie de trésorerie qui détermine le taux d’imposition (ce qui explique que les montants ne sont pas liquides) : — Sortie avant 5 ans : 22,5% ou 19% d’impôt sur le revenu ou impôt unique forfaitaire. — Sortie après 5 ans : impôt 0%. — La date de 8 ans n’a pas d’importance de la loi COVENTE 2019

Notez ici que l’avantage du PEA est énorme. Nous sommes sur deux investissements risqués où l’investisseur tente d’obtenir un rendement significatif. Non assujetti à la taxe sur un produit présentant un gain potentiel important est une excellente opportunité. Il est absolument nécessaire de maintenir le PEA pendant cinq ans ou de subir des impositions inutiles.

Je recommande que mon analyse aille plus loin : Fiscalité des PEA : Impôt forfaitaire et impôt sur le revenu ?

Budgetactif : puis-je ouvrir un PAE ou un compte de titres ?

Pour la première ouverture et la découverte de la bourse, l’AE devrait être favorisée systématiquement. D’une part, vous prenez date sur le produit et même si investissement est faible au départ, rien ne vous empêchera de se nourrir à moyen terme. L’objectif est, bien sûr, d’obtenir l’avantage fiscal inévitable à la fin des cinq années. – Oui retard n’est pas ennuyeux et vous obligera à travailler sur une maturité à long terme qui a du sens sur les investissements boursiers. Restrictions ne pénalisent pas : 150.000€ des dépenses sur un investissement risqué est une énorme marge ; l’ouverture d’un contrat suffit et il est loin d’être stupide de lancer uniquement sur le marché français ou européen pour commencer Bursicot. Investir des entreprises que nous connaissons au début. Bien sûr, les sommes ne sont plus disponibles, mais la chance de perdre lors de l’entrée en bourse doit être connu et donc tout contribuable qui met sur l’AEP vouss’engage à cesser d’examiner les fonds. Il serait dommage d’avoir 20 000 euros de valeur ajoutée sur cinq ans en investissant sur le marché français via un compte de titres alors que vous pourriez faire le Même chose que le PEA. Avec le PEA vous collectez vos 20.000€, avec le compte de titres de 2.500 à 8.000€ en amont…

D’autre part, pour les personnes expérimentées, qui suivent régulièrement le sac et souhaitent accéder à des médias un peu plus complexes, le compte de titres peut être recommandé. L’impôt sera inévitable ; il est recommandé de veiller à ce que l’ouverture de cet investissement ait lieu parce que l’une des restrictions du PEE n’est pas appropriée à l’investisseur.