Aujourd’hui il est courant de préparer ses obsèques de son vivant. Cela reste une étape sensible et parfois difficile à réaliser, mais qui représente un grand poids en moins pour la famille. Des options permettent de s’organiser et de payer en avance pour que les proches n’aient rien à débourser le moment venu, ce qui est largement plus confortable pour tous.
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Imaginer sa fin de vie, et après ?
Avant de se lancer, il va falloir se mettre en condition et accepter de penser à la fin de vie, et à la fin. Pour ce, il existe des conseillers ou des psychologues qui peuvent aider à franchir le cap ou à lancer les démarches. Un accompagnement essentiel en ces temps de crise et de sobriété, où parfois, on se retrouve seul et éloigné de tous. Notaire, conseiller, concession funéraire… Il y a de nombreux acteurs à qui s’adresser pour préparer ses obsèques, et de nombreuses questions à se poser.
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Quel type d’enterrement ?
Qu’est-ce qu’on a décidé pour la fin ? Plutôt une crémation ? Plutôt une inhumation ? Chacun est libre de choisir. Mais avant cette étape, il faut choisir un cercueil qu’on peut régler en avance comme on le précisait en introduction. Les prix d’un cercueil varient du simple ou double selon le bois utilisé, les finitions et les autres options disponibles (capiton, plaque gravée avec le nom et les dates…). Il faudra ensuite étudier les détails pour la concession et régler de nombreux points administratifs.
Quelles autres démarches ?
Dans l’organisation, mieux opter pour un contrat de prévoyance obsèques qui facilite grandement toutes ces étapes. Ensuite, il est nécessaire de rédiger un testament de son vivant et également d’épargner une somme importante pour tout régler. Enfin, de consulter la banque pour des démarches plus précises comme la fermeture d’un compte ou le règlement des obsèques.
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